Toujours autour de notre projet parisien, nous allons découvrir les calligrammes, d’Apollinaire.

Une petite séance suffit pour permettre aux élèves de réaliser de jolis calligrammes.

Lire la suite...

En lien avec mon projet parisien (voir l'article consacré), j'ai prévu de faire écouter chaque semaine une ou plusieurs chanson(s) ou une musique(s) sur Paris.

Je crois qu'à la fin, les élèves auront compris que même si "Papa n'aime pas Paris parce que les gens font la tête", Paris a fait et fait rêver plein de gens!

Cela dit, des musiques sur Paris, il y en a des tonnes! Des très bien, des très modernes avec des gros mots, des très anciennes et même trop anciennes, des sympas, des bizarres, des qui ne parlent finalement pas de Paris...Bref, des tonnes je disais!

Alors, sur la cinquantaine que j'ai écouté, j'en ai sélectionné quelques unes. Ce sont celles que je préfère. Mais ce ne sont pas forcément les meilleures.

Chaque semaine, nous allons donc écouter une (ou plusieurs) chanson(s) ou une musique(s). Les élèves exprimeront leur ressenti puis je leur dirais le titre et l'auteur/interprète de cette chanson. On parlera de l'époque à laquelle cette chanson a été diffusée.

Puis, nous garderons une trace dans le classeur de parcours culturel.

Il n'y a pas d'ordre. Les élèves auront les fiches vierges, puis en fonction des écoutes, nous collerons les "bandes artistes" dans les cases vides.

 NB: Rappelez vous que la mise en page provient de chez

Hello,

Elèves Speedy Gonzalez VS élèves escargots VS élèves rythme-de-croisière... ça vous parle? Allez, je suis sûre que oui!

J'ai toujours moult de difficultés à gérer ces différences de kilomètre/heure, tout simplement parce que je ne veux pas donner des exercices supplémentaires à mes Speedy Gonzalez (ça n'est pas parce qu'ils finissent vite qu'ils doivent travailler plus, nomého!): je préfère leur permettre de s'investir dans des activités moins scolaires pour réinvestir autrement ce qu'ils apprennent et prendre un plaisir différent aux activités (peut être un peu plus culturelles que scolaires). Et bien sûr, il y a aussi un minimum que je veux que les élèves très lents réussissent à terminer, parce que sinon, comme dirait l'autre: "On n'est pas sortis du sable, hein?!"

Bref, je me suis longtemps posée la question de comment gérer ce trafic: les fichiers d'autonomie, la bibliothèque, coloriages de précision, des jeux tels que puzzles, bâtonnets à agencer dans un certain ordre, manipulations diverses....

Lire la suite...